La nouvelle Présidente du Mouvement Européen des Hauts de Seine a répondu aux questions du rédacteur en chef du Boulogne Billancourt Information .
Quels espoirs suscitent pour vous la prochaine présidence française de l’Union Européenne ?
Depuis 50 ans, les Etats membres de la Communauté européenne, puis de l’UE, se sont succédés tous les 6 mois pour en prendre la présidence, organiser les grandes priorités, en accord avec tous. On a toujours pu observer un regain d’intérêt des citoyens de l’Etat qui assume la présidence de l’UE, mais jamais une plus forte adhésion pour le projet européen, et surtout, le fonctionnement de ses institutions.
J’aimerais, fidèle à la vocation du Mouvement Européen, que cette présidence ne soit donc pas le retour de la France en Europe, mais d’abord le retour des Français. Les chantiers dégagés par le gouvernement sont ambitieux et lourds à traiter : immigration, défense, environnement et énergie. Ce sont des projets de longue haleine, et j’espère que l’on n’oubliera pas que l’Europe, ça se vit avant tout au quotidien. Par exemple, combien d’entre nous savent que c’est grâce à l’UE que, dès 2009, les ampoules à économie d’énergie auront remplacé les ampoules à filament ?
Pourquoi vous impliquer dans une Semaine de l’Europe ?
Cette année, plusieurs centaines de Boulonnais européens ont voté à l’occasion des élections municipales. Et d’ailleurs, leur taux de participation est meilleur que celui des citoyens français. L’Europe est une réalité qui doit s’accompagner d’un état d’esprit, d’ouverture, de solidarité, de compréhension et de contribution. La semaine de l’Europe est l’occasion de célébrer la signature du Traité de Rome, fondateur de notre Communauté d’Européens. Mais 50 ans plus tard nous devons dépasser une simple célébration : c’est pourquoi nous avons décidé de consacrer une semaine entière à la fête, à la culture, mais aussi au débat. J'invite d'ailleurs l'ensemble des Alto-Sequanais à s'exprimer sur ce sujet et à nous faire parvenir leur sentiment en la matière.
Quels espoirs suscitent pour vous la prochaine présidence française de l’Union Européenne ?
Depuis 50 ans, les Etats membres de la Communauté européenne, puis de l’UE, se sont succédés tous les 6 mois pour en prendre la présidence, organiser les grandes priorités, en accord avec tous. On a toujours pu observer un regain d’intérêt des citoyens de l’Etat qui assume la présidence de l’UE, mais jamais une plus forte adhésion pour le projet européen, et surtout, le fonctionnement de ses institutions.
J’aimerais, fidèle à la vocation du Mouvement Européen, que cette présidence ne soit donc pas le retour de la France en Europe, mais d’abord le retour des Français. Les chantiers dégagés par le gouvernement sont ambitieux et lourds à traiter : immigration, défense, environnement et énergie. Ce sont des projets de longue haleine, et j’espère que l’on n’oubliera pas que l’Europe, ça se vit avant tout au quotidien. Par exemple, combien d’entre nous savent que c’est grâce à l’UE que, dès 2009, les ampoules à économie d’énergie auront remplacé les ampoules à filament ?
Pourquoi vous impliquer dans une Semaine de l’Europe ?
Cette année, plusieurs centaines de Boulonnais européens ont voté à l’occasion des élections municipales. Et d’ailleurs, leur taux de participation est meilleur que celui des citoyens français. L’Europe est une réalité qui doit s’accompagner d’un état d’esprit, d’ouverture, de solidarité, de compréhension et de contribution. La semaine de l’Europe est l’occasion de célébrer la signature du Traité de Rome, fondateur de notre Communauté d’Européens. Mais 50 ans plus tard nous devons dépasser une simple célébration : c’est pourquoi nous avons décidé de consacrer une semaine entière à la fête, à la culture, mais aussi au débat. J'invite d'ailleurs l'ensemble des Alto-Sequanais à s'exprimer sur ce sujet et à nous faire parvenir leur sentiment en la matière.
Agnès Bauche Catalan
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